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Vivre avec l'endométriose révèle rapidement une vérité essentielle : cette maladie dépasse largement les symptômes physiques. Certes, les douleurs pelviennes torturent le quotidien, tandis que la fatigue chronique et les troubles digestifs handicapent chaque geste. Toutefois, quelque chose de bien plus profond se manifeste à travers cette maladie qui atteint le cœur même de notre féminité.
Après avoir exploré dans notre article précédent les aspects médicaux et scientifiques de l'endométriose, nous plongeons maintenant dans une dimension tout aussi essentielle : la lecture symbolique et énergétique de cette maladie. Non pas pour nier la réalité médicale, mais plutôt pour enrichir notre compréhension et ouvrir de nouvelles voies de guérison.
En effet, l'endométriose nous invite à un voyage intérieur, une exploration profonde de notre histoire émotionnelle, de notre lignée féminine et de notre relation à notre propre féminité. C'est précisément ce chemin de transformation que nous vous proposons d'explorer ensemble.
💡 EN BREF :
L'endométriose dépasse les symptômes physiques. Découvrez comment cette maladie parle de votre histoire émotionnelle, de votre lignée féminine et de votre énergie sacrée. Explorez la dimension symbolique du féminin blessé pour ouvrir de nouveaux chemins de guérison holistique.
Je suis Aurélie Ferrari, psychopraticienne certifiée, spécialisée en EFT clinique, hypnose ericksonienne et psychologie énergétique. Je me spécialise dans l'accompagnement des femmes atteintes d'endométriose et de troubles féminins. À travers cette série de quatre articles, je vous propose une approche intégrative de cette maladie. Nous allons ainsi comprendre ensemble ce qui se passe dans votre corps, explorer ce qu'il cherche à vous dire, et découvrir des outils concrets pour apaiser vos douleurs et retrouver votre pouvoir intérieur.
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Les 5 erreurs les plus fréquentes (et comment les corriger)
Des solutions concrètes pour apaiser ton corps dès aujourd'hui
Les clés pour transformer ta douleur en pouvoir intérieur
Vivre avec l'endométriose, c'est traverser une épreuve initiatique qui bouleverse toutes nos certitudes. Cette maladie nous confronte directement à notre vulnérabilité, à nos limites, à notre rapport au temps et à notre corps. Par ailleurs, elle nous oblige à ralentir dans une société qui valorise constamment la productivité et la performance.
Souffrir d'endométriose signifie également souffrir psychologiquement. Nous portons en nous une maladie mystérieuse : d'où vient-elle ? Pourquoi se développe-t-elle ? Pourquoi récidive-t-elle ? De plus, nous supportons les questionnements incessants, la peur que quelque chose arrive, de finir aux urgences une fois de plus, de ne pas ressembler aux autres femmes.
Cependant, cette épreuve peut devenir un chemin de résilience. Comme le rappelle le neuropsychiatre Boris Cyrulnik, la résilience représente cette capacité à renaître de sa souffrance, à rebondir après un traumatisme. En d'autres termes, c'est l'aptitude d'un corps à résister aux pressions et à reprendre sa structure initiale. Et justement, nous, femmes atteintes d'endométriose, possédons souvent cette remarquable capacité de résilience qui nous permet de nous relever encore et encore.
💛 La résilience représente cette capacité à renaître de sa souffrance, à rebondir après un traumatisme.
Boris Cyrulnik
L'endométriose nous lance un appel clair : celui de prendre soin de nous globalement, en agissant non seulement sur les symptômes physiques, mais également sur notre stress, nos émotions et nos humeurs. Car effectivement, nous fonctionnons comme un système où tout s'interconnecte. Ainsi, ce qui affecte notre corps affecte notre psychisme, et réciproquement.
Cette maladie chronique nous invite donc à construire un itinéraire singulier, une création personnelle pour retrouver l'équilibre. Elle nous demande par conséquent de devenir l'architecte de notre propre guérison, en alliant les soins médicaux à une démarche intérieure profonde.
🩺 Le corps n'est pas notre ennemi, il est notre messager. L'endométriose parle un langage symbolique : elle exprime ce que nous n'avons pas pu dire avec des mots. Accueillir et décoder ces messages émotionnels est la clé pour transformer la maladie.
Notre corps n'est absolument pas une machine séparée de notre psyché. Au contraire, il représente le réceptacle de toutes nos mémoires : celles de notre vie, celles de nos aïeules, et peut-être même de plus anciennes encore. En effet, des douleurs physiques répétées et chroniques modifient directement notre état psychique, provoquant ainsi émotions pénibles et pensées anxieuses. Une douleur morale s'installe alors, qui augmente à son tour notre perception de la douleur physique.
Inversement, nos états psychiques et émotionnels se traduisent immédiatement dans notre corps. Un souci nous "prend la tête", une angoisse nous "noue la gorge", l'anxiété bouleverse notre appétit et notre sommeil. Notre corps parle activement. Il exprime précisément ce que nous ne pouvons pas dire, ce que nous avons enfoui, ce que nous ne voulons pas voir.

Selon le décodage biologique des maladies, chaque symptôme physique incarne une émotion refoulée. Comme l'explique Christian Flèche dans ses travaux sur le décodage biologique : "L'être humain tombe malade d'un manque de vocabulaire". En d'autres termes, la maladie survient quand nos émotions demeurent inexprimées, quand les mots nous manquent pour traduire ce qui s'imprime en nous.
L'endométriose peut ainsi être comprise comme une cristallisation d'émotions non exprimées dans les tissus de notre bassin. Le stress, la colère, la tristesse, la culpabilité, l'anxiété, la perte de confiance et d'estime de soi s'accumulent progressivement et finissent par s'inscrire dans notre chair.
Les adhérences de l'endomètre peuvent effectivement être constituées de souvenirs non exprimés, de blessures non pansées. Le corps et l'utérus gardent activement une mémoire de tous les stress physiques et émotionnels. Ceux-ci se cristallisent dans nos tissus lorsqu'ils ne deviennent ni conscients ni exprimés.
Le décodage biologique nous enseigne que la maladie représente une solution biologique à un conflit antérieur. L'endométriose surgit donc lorsqu'un événement conflictuel, imprévu et dramatique nous trouve démunies. Nous n'avons alors rien en magasin, en mémoire, en nous, dans nos apprentissages, qui nous permette de sortir de la situation. Il nous reste donc comme issue les solutions inconscientes, celles qui se situent dans notre corps.
Plusieurs catégories de blessures peuvent impacter directement le corps :
Premièrement, les blessures d'enfance : ces moments où nous n'avons pas été vue, entendue, protégée ou valorisée. Ensuite, les traumatismes vécus : abus, agressions, humiliations, rejets.
Par ailleurs, les non-dits familiaux : secrets, hontes transmises, émotions contenues. Enfin, les injonctions sociales : pression à être parfaite, à correspondre à un modèle.
Ces blessures, même si elles semblent infimes, ont toutes un impact sur notre vie. Elles ont besoin d'être reconnues, entendues et soignées pour avancer. Car le corps crie activement cette douleur afin que nous nous y penchions et que nous en prenions soin.
Les répercussions de l'endométriose sur notre quotidien varient en durée et en intensité. Tristesse, colère, culpabilité peuvent conduire progressivement à un repli sur soi. Anxiété, perte de confiance et d'estime de soi risquent alors d'apparaître.
Ces ressentis sont parfaitement légitimes. En les identifiant consciemment, nous pouvons mieux les dépasser. Ces manifestations sont effectivement réactionnelles à la maladie. La souffrance de notre corps a directement un impact sur notre psychisme qui peut se mettre à souffrir également.
Connaître nos émotions, c'est découvrir activement ce panel d'états d'âme qui envahit notre vie : la joie, l'amour, la peur, la colère, la honte, la tristesse. Nous pouvons les ressentir physiquement lorsqu'elles deviennent fortes : le cœur qui bat plus vite, une chaleur qui monte du ventre jusqu'aux joues, des tremblements, des larmes, la gorge qui se serre.
Les émotions demandent à être découvertes, décodées, explorées. Elles peuvent nous envahir, nous faire peur, nous apporter de magnifiques choses, ou au contraire s'inscrire dans le corps, stagner et parfois créer des maladies. Écouter nos blessures représente donc une première étape essentielle vers la guérison.
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🎯 POINTS À RETENIR
Le corps comme messager de l'endométriose
Notre corps dialogue en permanence avec notre psyché.
L'endométriose cristallise des émotions non exprimées.
Quatre types de blessures impactent le corps.
Accueillir ses émotions est la première étape de guérison.
Le corps parle ce que nous ne pouvons pas dire.
🔬 L'endométriose peut porter en elle les blessures non guéries de notre lignée féminine. Explorer ces héritages invisibles et les libérer fait partie intégrante du chemin de guérison holistique.
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Scientifiquement parlant, nous existons déjà en tant qu'ovule dans le corps de notre grand-mère lors de la conception de notre mère. Lorsque l'embryon féminin se forme, les ovules futurs sont déjà tous présents. Cela signifie concrètement que lorsque notre grand-mère portait notre mère, l'ovule qui a donné naissance à notre conception était déjà là, déjà baigné dans l'atmosphère familiale et dans le flux de ses émotions.
Cette mémoire cellulaire s'inscrit profondément en nous et exerce un impact sur celle que nous sommes aujourd'hui. Toutes les femmes portent activement la mémoire de leurs aïeules : leurs souffrances, leurs blessures, leur soumission, leur humiliation, leurs peurs, leurs colères, leur honte.
Cette réalité porte un nom : la transmission familiale ou le lien transgénérationnel. Les traumatismes, histoires, blessures et fonctionnements de notre famille et de nos ancêtres peuvent nous impacter au point de créer des maladies. Il se peut donc que nous portions les blessures des générations précédentes et donc une douleur qui ne nous appartient pas complètement : histoires d'abus, d'inceste, de rejet, de maternité précoce et non désirée.
Lorsqu'une maladie comme l'endométriose touche les organes reproducteurs, nous pouvons chercher activement des liens avec nos lignées féminines. Voici quelques questions essentielles à explorer :
Quelle histoire porte le ventre de ma grand-mère ? Quelles mémoires habitaient en elle ?
Quelle histoire porte le ventre de ma mère ? Était-il hostile ou accueillant ? Que portait-il en mémoire au moment de ma création ?
Dans quel environnement ai-je grandi ? Quelles croyances, peurs, histoires familiales, secrets, colères ou obligations habitaient cet espace ?
Ces questions permettent d'imaginer l'étendue de ce qu'on porte en soi, qui ne nous appartient pas, et de percevoir à quel point il devient important de le prendre en compte. Rechercher cette mémoire permet activement de se débarrasser de ce fardeau, d'alléger nos symptômes.
Les secrets, les blessures oubliées et les émotions contenues du passé se transmettent de génération en génération et s'inscrivent dans nos cellules. C'est pourquoi il devient essentiel de chercher les racines de notre fonctionnement et de mettre à jour les répétitions qui s'imposent à nous.
Le chemin vers l'équilibre et vers soi-même passe nécessairement par une libération du passé : des émotions anciennes, des mémoires de femmes blessées ou de toute autre souffrance, afin de retrouver activement son propre pouvoir.
Parfois, nous perpétuons des faits, des gestes et des pensées des femmes de notre famille. Parfois, nous cherchons coûte que coûte à nous en éloigner pour ne pas leur ressembler. Dans les deux cas, qu'elle soit consciente ou inconsciente, cette attitude induit une souffrance.
Pour accompagner ce travail de libération, vous pouvez :
Consulter un thérapeute spécialisé en mémoire cellulaire ou en approches transgénérationnelles
Explorer activement votre arbre généalogique et les albums de famille
Échanger avec vos mères, tantes, grands-mères pour recueillir leur histoire
Pratiquer l'EFT clinique pour libérer les mémoires émotionnelles (nous en parlerons dans le prochain article)
🎯 POINTS À RETENIR
Le féminin blessé : mémoire de la lignée et héritages transgénérationnels
Nous portons la mémoire cellulaire de nos aïeules
La transmission transgénérationnelle impacte notre corps
Explorer son histoire familiale devient essentiel
Libérer le passé pour retrouver son pouvoir
Plusieurs outils accompagnent ce travail de libération
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Dans la vision énergétique du corps, le deuxième chakra (ou chakra sacré, Svadhisthana en sanskrit) se situe dans la région du bas-ventre, juste en dessous du nombril. Il correspond précisément à la zone touchée par l'endométriose : utérus, ovaires, région pelvienne.
Ce centre énergétique gouverne activement plusieurs dimensions essentielles de notre être féminin :
La créativité sous toutes ses formes (artistique, mais aussi capacité à créer sa vie)
Le plaisir et la sensualité
Les émotions et leur fluidité
La sexualité et l'intimité
La maternité et la capacité à donner la vie
La relation à soi et aux autres
Quand ce chakra se trouve en déséquilibre ou bloqué, cela peut se manifester par :
Des troubles gynécologiques (comme l'endométriose)
Des difficultés à accéder au plaisir et à la créativité
Une sexualité douloureuse ou absente
Des problèmes de fertilité
Un sentiment de culpabilité,
Une peur de ressentir ou d’exprimer ses émotions,
Une difficulté à recevoir ou à créer,
Un rejet du plaisir corporel ou sensoriel.
Un sentiment de déconnexion de son corps
Des difficultés relationnelles
Selon la tradition chinoise, nous pouvons comprendre l'équilibre énergétique à travers les concepts du yin et du yang :
Le yin représente l'énergie féminine : le froid, la nuit, l'intériorité, la lune, la douceur, la réceptivité, l'intuition, la lenteur
Le yang représente l'énergie masculine : le chaud, le jour, l'action, le soleil, la force, la productivité, la rapidité
En tant que femmes, nous sommes naturellement plus yin. Cependant, la société moderne, dirigée depuis longtemps par des valeurs masculines, valorise excessivement le yang : l'activité, l'action, la productivité, la performance. Nous sommes toutes embarquées dans cet élan qui ne respecte pas notre nature cyclique.
Lorsque l'énergie féminine n'en peut plus d'être étouffée, elle se manifeste autrement, notamment au niveau des organes reproducteurs féminins. Notre corps féminin se tend parce qu'il se bat contre ce qu'il doit vivre : le stress, les horaires rigides, les obligations, le non-respect de sa nature cyclique.
À cela s'ajoute le désir de plaire à tous, de satisfaire tout le monde. Pour atteindre cet objectif irréalisable, nous vivons trop dans le faire et pas assez dans l'être. Nous devenons plus masculines que féminines, et le corps, au bout d'un moment, ne parvient plus à suivre ce modèle hyperactif.

Notre corps féminin suit activement un cycle naturel de quatre phases, comparable aux saisons. Chaque semaine de notre cycle menstruel porte une énergie différente :
Phase menstruelle (la sorcière/l'hiver) : Période d'introspection, de retour à soi, d'intuition puissante. Moment idéal pour poser des intentions et planter des graines pour le cycle à venir.
Phase préovulatoire (la création/le printemps) : Montée d'énergie vitale, créativité, ouverture au monde. Renaissance après l'hiver intérieur.
Phase ovulatoire (l'été) : Pic d'énergie physique, sexuelle et créative. Période de joie, d'expression et de rayonnement.
Phase prémenstruelle (l'automne/la clarté) : Retour progressif à l'intériorité, moment de vérité sur ce qui ne fonctionne plus. Opportunité de lâcher ce qui ne nous sert plus avant les prochaines règles.
Respecter ce cycle naturel, ralentir quand le corps le demande, s'autoriser à être plus yin dans ces moments-là entraîne directement une plus grande sensation de confort. Ignorer ce rythme naturel peut contribuer activement au déséquilibre qui mène à l'endométriose.
🎯 POINTS À RETENIR
Le deuxième chakra : centre de la créativité, du plaisir et de la maternité
Le chakra sacré correspond exactement à la zone de l'endométriose
Un déséquilibre du chakra sacré se manifeste par des troubles gynécologiques
L'énergie féminine (yin) est étouffée par la société moderne
Le corps féminin suit naturellement un cycle de 4 phases
Respecter son cycle naturel est essentiel pour la guérison
Pour comprendre d'où vient cette répression de notre énergie féminine, il faut faire un détour par l'histoire. Les femmes font peur. Leurs qualités inquiètent, car lorsqu'elles les exploitent et les incarnent totalement, elles deviennent puissantes : elles ont le pouvoir de porter la vie, elles sont connectées cycliquement aux éléments et, surtout, elles savent.
Avec une intuition infaillible, elles savent voir à travers les yeux de ceux qui les regardent, elles savent à distance quand quelque chose ne va pas, elles savent quand on leur ment. C'est précisément ce savoir qui fait peur et qui a conduit, à travers l'histoire, à la répression du féminin : chasse aux sorcières, culpabilisation de la sexualité féminine, cantonnement des femmes à des rôles de service.
Nous héritons activement de cette histoire. Nous savons que dans les rapports de force, le masculin domine. Alors, pendant longtemps, les femmes se sont tues, puis elles ont fini par s'exprimer sur le modèle de l'homme, par mimétisme. Cette lutte nous a donné de la liberté, mais elle nous a aussi parfois coupées de notre essence féminine.
Nous ne savons plus toujours affirmer qui nous sommes réellement. Nous devenons celle que les autres et la société nous demandent d'être. Nous essayons d'être parfaites, mais à quel prix ?
Nier sa nature profonde crée directement une séparation entre l'âme et le corps, et à terme, peut provoquer des troubles physiologiques. Les questions à se poser deviennent alors :
Est-ce que je suis féminine en apparence pour me plaire ou pour plaire aux autres ?
Est-ce que je porte du maquillage pour me révéler ou me cacher ?
Si je ne prête aucune attention à mon apparence, est-ce par peur de séduire, par peur du regard, ou par négligence de moi-même ?
Quelles blessures je porte autour de la féminité et de la maternité ?
Comment je me sens dans mon corps de femme ?
Se réconcilier avec son corps et son féminin représente un voyage qui demande douceur, patience et bienveillance.
Voici quelques pistes concrètes :
Réhabiter son corps : Sortir activement du "corps-douleur" pour aller vers le "corps-plaisir". Développer des réflexes de mieux-être au quotidien : un bain, une séance de yoga, un massage, une marche en forêt. Ces expériences de présence à soi aident directement à voir son corps autrement et à lui être reconnaissante.
Amener plus de yin dans sa vie :
Ralentir consciemment
Pratiquer la pleine conscience et la présence à l'instant
S'autoriser à intérioriser plutôt que d'être toujours dans l'action
Respecter activement ses cycles et ses besoins de repos
Cultiver la douceur plutôt que la performance
Explorer sa créativité : Écrire, dessiner, cuisiner, chanter, danser. Laisser émerger ce qui veut s'exprimer sans jugement. La créativité n'est pas réservée aux artistes, c'est une énergie vitale qui demande à circuler.
Rejoindre des cercles de femmes : Il existe de plus en plus de cercles de femmes où l'on peut explorer le féminin, ses blessures, sa créativité et sa vulnérabilité. Ces espaces permettent de déposer son histoire, sa peine, mais aussi son espoir et ses victoires, dans un cadre bienveillant et sans jugement.
Pratiquer des techniques psychocorporelles : Yoga (particulièrement le yin yoga), qi gong, sophrologie, méditation de pleine conscience. Au cœur de ces pratiques, on retrouve la respiration, la relaxation, le mouvement et surtout la présence à soi, véritables soins pour le corps et l'esprit.
Travailler avec un thérapeute holistique : Psychologue, énergéticien, praticien EFT, naturopathe. L'important réside dans la constitution d'une équipe qui nous accompagne sur le chemin de la santé, en prenant en compte notre corps, nos émotions, notre personnalité, notre environnement et notre vécu.
🎯 POINTS À RETENIR
Se réconcilier avec son corps et son féminin
Le féminin a été historiquement réprimé car il fait peur
Nous avons perdu notre authenticité féminine
Se questionner pour retrouver son identité
Réhabiter son corps par des pratiques concrètes
Se faire accompagner dans ce voyage de réconciliation
L'endométriose n'est pas qu'une maladie physique. C'est une invitation active à écouter ce que notre corps cherche à nous dire, à explorer les émotions enfouies, à revisiter notre histoire familiale, à nous réconcilier avec notre féminité blessée.
Cette vision symbolique et énergétique ne remplace absolument pas les soins médicaux nécessaires. Elle les complète en nous offrant des clés de compréhension plus profondes et des chemins de guérison supplémentaires.
En écoutant notre corps, en accueillant nos émotions, en libérant les mémoires de notre lignée, en rééquilibrant notre énergie féminine et masculine, nous créons activement les conditions d'un véritable apaisement. Nous ne sommes plus seulement des patientes subissant une maladie, mais des femmes en chemin vers l'équilibre et la réconciliation avec elles-mêmes.
Ce travail intérieur demande du temps, de la patience, de la douceur envers soi-même. Il nécessite parfois d'être accompagnée par des professionnels bienveillants. Mais chaque pas sur ce chemin nous rapproche directement de qui nous sommes vraiment, au-delà de la maladie.

Dans notre prochain article, nous découvrirons comment l'EFT clinique (Emotional Freedom Techniques) peut devenir un outil précieux pour apaiser les douleurs physiques et libérer les mémoires émotionnelles associées à l'endométriose. Cette technique psychocorporelle scientifiquement validée offre une approche douce et autonomisante pour accompagner votre chemin de guérison.
Maintenant que tu comprends la dimension émotionnelle de l'endométriose, il est temps de passer à l'action. Mais attention : beaucoup de femmes sabotent inconsciemment leur guérison en répétant certaines erreurs.
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📚 Article 1 : Endométriose : une maladie complexe, chronique et encore trop méconnue - Comprendre scientifiquement la maladie
🌸 Article 2 : Endométriose : comprendre la maladie, écouter le corps et guérir le féminin blessé (vous êtes ici)
💫 Article 3 : L'EFT clinique : une approche psychocorporelle pour apaiser les douleurs et libérer la mémoire émotionnelle - Découvrir l'EFT comme outil d'apaisement (à venir)
🌺 Article 4 : Étude de cas : comment Siana a retrouvé apaisement et liberté grâce à l'EFT - Lire un cas réel de transformation (à venir)
Vous vous interrogez sur le lien entre émotions et endométriose ? Voici les réponses aux questions les plus fréquentes sur l'approche complémentaire psychocorporelle et énergétique de cette maladie.
Non, l'endométriose est une maladie physique réelle et organique. Cependant, comme toute maladie chronique, elle comporte une dimension psychologique et émotionnelle importante. L'approche symbolique ne nie pas la réalité médicale, elle la complète en explorant les facteurs émotionnels qui peuvent influencer l'évolution de la maladie.
Non. L'approche émotionnelle et énergétique doit toujours compléter (et non remplacer) le suivi médical. Elle aide à mieux gérer la douleur, à réduire le stress, à améliorer la qualité de vie et parfois à diminuer l'intensité des symptômes, mais ne se substitue jamais aux traitements médicaux nécessaires.
Cela varie selon chaque personne et du rythme des séances. Certaines femmes ressentent un soulagement dès les premières séances sur la gestion de la douleur et du stress. Pour un travail plus profond sur les mémoires émotionnelles et transgénérationnelles, un accompagnement de plusieurs mois ( une 12ème de séances) est généralement recommandé.
Oui, plusieurs études récentes mettent en évidence des liens entre l’endométriose et les traumatismes vécus pendant l’enfance ou à l’âge adulte. Ce lien concerne particulièrement les traumatismes avec contact (violence physique ou sexuelle), mais aussi les expériences de maltraitance émotionnelle et de stress sévère.
Études majeures sur le sujet
Une étude britannique publiée dans JAMA Psychiatry (2025) a analysé les données de plus de 8 000 femmes souffrant d’endométriose comparées à 240 000 témoins. Les femmes avec endométriose étaient statistiquement plus susceptibles d’avoir vécu des traumatismes, notamment des violences physiques, des abus sexuels, des maltraitances infantiles, ou des événements de stress majeur.
Les analyses génétiques suggèrent que ces liens persisteraient indépendamment de la prédisposition génétique à l’endométriose, ce qui souligne l’importance du vécu traumatique précoce et des stress émotionnels dans le risque et l’aggravation de la maladie. Institut de Biomedicina de la Universitat de Barcelona
Une autre étude internationale, basée sur la UK Biobank, insiste sur la forte association entre endométriose et traumatismes de l’enfance (abus physique, sentiment d’être rejeté, etc.), décrivant un effet cumulatif du nombre d’expériences traumatiques sur le risque de développer la maladie. News-Medical live sciences
D’autres recherches, menées notamment en France et aux États-Unis, corroborent que les femmes victimes de violences sexuelles ou physiques dans leur enfance présentent un risque plus élevé de souffrir d’endométriose à l’âge adulte.
Vous pouvez expliquer que vous souhaitez ajouter un accompagnement psychocorporel (EFT, sophrologie, etc.) en complément de votre suivi médical pour mieux gérer la douleur, le stress et améliorer votre qualité de vie. La plupart des médecins sont ouverts aux approches complémentaires tant que le suivi médical est maintenu.
C'est tout à fait normal. Certaines émotions sont profondément enfouies ou dissociées. Il n'est pas nécessaire de forcer. Un thérapeute formé peut vous accompagner en douceur. L'important est de rester ouverte sans vous mettre la pression. Parfois, simplement prendre soin de soi différemment suffit à initier un changement.
Oui. Même si la maladie demande des ajustements, il est tout à fait possible de vivre pleinement avec l’endométriose.
En effet, apprendre à écouter son corps, équilibrer son mode de vie et se faire accompagner permet de retrouver paix, énergie et confiance en soi.
Sources :
Organisation Mondiale de la Santé (OMS) – Endométriose : faits essentiels
Haute autorité de santé (HAS) - Prie en charge de l'endométriose
EndoFrance – Association française de lutte contre l'endométriose
Journal of Psychosomatic Obstetrics & Gynecology – Étude sur l'impact des approches intégratives (2022)



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